Possessed – Revelations of Oblivion – 2019

Possessed – Death/Thrash Metal – États-Unis
Revelation of Oblivion – 2019
Nuclear Blast
8,7/10

La légendaire formation Possessed est de retour avec un troisième album en carrière, album qui sort 33 and après le deuxième album, Beyond the Gates paru en 1986. Jeff Beccera fait revivre Possessed depuis 2007 avec des spectacles ici et là au grand plaisir de fans, vieux ou jeune. A la surprise générale, le groupe nous pond ce troisième album et malgré le « hype » qu’il peut susciter, j’ai évidement jeté une oreille pour la curiosité.

Et bien, contre toute attente, je dois avouer que c’est assez réussi! C’est du Possessed pur et dur comme à l’époque avec le même type de riffs et la même rythmique, on a même droit au son de batterie de l’époque. La production est évidement beaucoup plus léchée que les productions des années 80 ce qui aide à rendre justice aux pièces. La voix de Jeff Beccera n’a pas vraiment changé, toujours le même timbre granuleux mais avec plus de puissance et de profondeur. Même si Possessed ne ré-invente pas la roue avec cet album, il n’en demeure pas moins que c’est la suite logique à Beyond the Gates, c’est très bien fait et ça varlope pas mal.

Ma curiosité maintenant piquée, je ne peux que vous conseiller d’écouter Revelations of Oblivion qui plaira aux vieux bonhommes nostalgiques comme moi et aussi aux jeunes de la nouvelle génération Thrash.

Composition: 9
Exécution: 9
Ambiance: 8,5
Production: 9
Appréciation Genérale : 8,5

Sabbath Assembly – A Letter to Red – 2019

Sabbath Assembly – Occult Rock – États-Unis
A Letter to Red – 2019
Svart Records
8,7/10

Sabbath Assembly nous offre son septième album en carrière. Intitulé A Letter to Red, ce nouvel album marque un retour aux sources pour le groupe. On délaisse le côté progressif pour conserver des sonorités plus 70’s rock.

Ce changement de cap du groupe apporte son lot de curiosité et de questionnements. Bien que l’album soit à la hauteur de ce que le groupe nous a habitué par le passé, il est un peu plus faible que les deux parutions précédentes. Jamie Myers nous offre encore une fois sa voix chaude et puissante mais la complexité des compositions a diminué de façon considérable, le groupe a choisi de diminuer les envolées spectaculaires pour se concentrer sur les riffs efficaces et accrocheurs. Les sonorités flyées et la mélancolie sont toujours présentes et la puissance du groupe n’a pas perdu de sa ferveur, la production est beaucoup plus fluide et claire que sur les précédentes parutions ce qui enlève un peu le charme et les sonorités granuleuses qui forgeaient le son de Sabbath Assembly.

A Letter to Red est néanmoins un très bon album de Hard Rock à la sauce 70’s, cet album plaira aux fans de la première heure sans aucun doute.

Composition: 8,5
Exécution: 9
Ambiance: 8,5
Production: 9
Appréciation Générale : 8,5

Vltimas – Something Wicked Marches In – 2019

Vltimas – Blackened Death Metal – Internationnal
Something Wicked Marches In – 2019
Season of Mist
9,1/10

Que se passe t-il lorsque l’on réunit David Vincent, Rune Eriksen et Flo Mounier? Une bombe musicale allaint Black Metal et Death Metal dans les plus pures traditions et un super groupe explosif nommé Vltimas.

C’est à grands coups de riffs étoffés et de rythmique martelante que Vltimas nous offr un premier album qui décoiffe et dévaste tout sur son passage. David Vincent nous livre une perforamnce vocale des plus percutantes et le niveau de composition est surprenant, Morbid Angel peut aller se rhabiller, Vincent fait ici un immense pied de nez à Trey Azagthoth. La production est une réussite à tout points de vue, l.album sonne et ça aide à rendre les pièces encore plus puissantes. Signe que cet album en est un de taille, les 38 minutes et les neuf pièces passent très rapidement, aucun moment de faiblesse ni de remplissage inutile, que de l’excellence d’un bout à l’autre.

Pour ceux qui doutaient encore de David Vincent, rassurez-vous il est encore présent et en pleine forme. Un excellent album qui sera haut dans les tops de 2019.

Composition: 9
Exécution: 9,5
Ambiance: 9
Production: 9
Appréciation Genérale : 9

Vorga – Radiant Gloom – 2019

Vorga – Black Metal – Allemagne
Radiant Gloom – 2019
Indepoendant
8,3/10

Vorga est une toute jeune formation Allemande fondée en 2016. Oeuvrant dans un créneau Black Métal près des origines, le groupe nous offre son premier EP intitulé Radiant Gloom paru de façon indépendante cette année.

Dès les premières notes de The Black Age on sait que nous aurons droit à de la musique de qualité avec une excellente production. Le quatuor est assez habile avec les riffs froids et a une très bonne maîtrise des instruments. Niveau composition, c’est très professionnel, on entends des relents de Immortal et même de Necrophobic au fil des quatre pièces de l’album tout en ayant une signature propre et une sonorité riche en textures. Le groupe mise sur une rythmique mid-tempo avec des mélodies bien ficelées.

Vorga signe un très bon premier effort, le groupe sera à surveiller de près pour la prochaine sortie. Si vous aimez le Black metal froid et sombre, Radiant Gloom est pour vous!

Composition: 8,5
Exécution: 8,5
Ambiance: 8
Production: 8,5
Appréciation Générale : 8

Rotting Christ – The Heretics – 2019

Rotting Christ – Melodic Black Metal – Grèce
The Heretics – 2019
Season of Mist
8,8/10

Rotting Christ est l’une de ces formations qui ne font pas les choses à moitié. Le groupe a toujours un quelque chose de différent à proposer d’album en album et se ressource assez régulièreement. Ayant d.buté sa carrière comme étant un groupe mélangeant le Grind et le Black Metal, les Grecs ont par la suite adopté une approche plus Gothique avec des albums comme Theogonia, Aelo ou Kata Ton Daimona Eaytoy pour revenir à un son plus près du Black Metal avec Rituals.

Treizième album du iroupe, The Heretics reprends exactement là où Rituals nous avait laissés en 2016 avec une musique répétitive et hypnotique alliant riffs mordants et lenteur vaporeuse. On reprends les rituels en y ajoutant une dose plus majestueuse et invocatrice tout en gardant l’essence même de Rotting Christ. The Heretics est un peu moins percutant que son prédécesseur mais concserve tout le charme et les textures sonores propres aux habitudes du groupe depuis les cinq ou six derniers albums. Rotting Christ garde toujours son cap en nous offrant l’excellence sonore et des textures musicales grandioses. Ici on a droit à des sonorités un peu médiévales avec des choeurs rappelant les chants grégoriens avec un soupçon d’éléments folk aux tendances païennes, ce qui n’est pas pour me déplaire.

The Heretics est une excellente offrande de la part de Rotting Christ, plus lente que d’habitude mais toujours aussi majestueuse. Un album qui plaira aux fans du groupe sans aucun doute!

Composition: 8,5
Exécution: 9
Ambiance: 9
Production: 9
Appréciation Générale : 8,5

Malevolent Creation – The 13th Beast – 2019

Malevolent Creation – Death Metal – États-Unis
The 13th Beast – 2019
Century Media
8,1/10

Le monde du Death Metal est devenu très vaste au fil des décennies et comporte d’innombrables groupes ayant fait leur marque depuis les débuts de ce sous-genre métallique à la fin des années 80. Les Floridiens de Malevolent Creation en sont à leur treizième album en carrière et la fondation du groupe datant de 1987 en fait l’un des pionniers du genre.

The 13th Beast s’inscrit dans la lignée de ce que le groupe nous a habitués d’album en album durant les 32 dernières années en maintenant toujours le cap avec la même agilité et le même genre. Ce nouvel album ne comporte pas de réelle surprise, onze nouvelle compositions taillées dans le même Métal que les précédents albums sans aucun changement de direction. Certains diront que c’est parfait comme ça mais en bout de ligne répéter le même album sortie après sortie peut relever de la redondance pure et dure. La production est très bonne et le niveau de composition est toujours aussi élevé, c’est du très bon Death Metal de la vieille école qui plaira aux fans de la première heure.

En résumé, The 13th Beast sonne comme tous les autres albums du groupe et sonne comme tous les groupes du même genre. Pas d’innovation ou d’idées nouvelles mais ça reste efficace et bien fait.

Composition: 8
Exécution: 8,5
Ambiance: 7,5
Production: 8,5
Appréciation Générale : 8

Front Line Assembly – Wake Up the Coma – 2019

Front Line Assembly – Industrial – Canada
Wake Up the Coma – 2019
Metropolis Records
8,5/10

Wake Up the Coma marque la sortie du 19e album studio de la formation Canadienne Front Line Assembly. Le Duo de Bill Leeb et Rhys Fulber en est une pionnière du genre, le duo oeuvrant dans cette cscène depuis plus de trois décennies. Bill Leeb a même fait partie de la légendaire formation Skinny Puppy à ses débuts sous le pseudonyme de Wilhelm Shroeder.

Ce nouvel album respire une fois de plus la marque de commerce de FLA, lourdement axé sur les claviers et sonorités diverses apportant tantôt des éléments atmosphériques et vaporeux, tantôt un martèlement continu où l’agressivité et la puissance sont à l’honneur. Mis à part la pathétique reprise de Rock Me Amadeus, la majorité des douze pièces de l,album sont efficaces et renferment de bonnes idées. On sent un essoufflement dans les compositions, possiblement dû à un manque d’inspiration par moments. Comme toujours, la production est excellente et rends justice au travail de Bill Leeb. L’album comprends également des invités surprises de taille dont Robert Gorl (DAF), Nick Holmes (Paradise Lost, Bloodbath) et Chris Connelly (Revolting Cocks, Ministry) qui apportent un petit plus à leur pièce respective.

Wake Up the Coma n’est pas un Gashed Senses & Crossfire ou un Tactical Neural Implant mais un album correct qui s’écoute plutôt bien malgré l’horripilante reprise de Falco dont on se serait totalement passé.

Composition: 8,5
Exécution: 8,5
Ambiance: 8,5
Production: 9
Appréciation Générale : 8

The Claypool Lennon Delirium – South of Reality – 2019

The Claypool Lennon Delirium – Psychedelic Rock/Experimental – États-Unis
South of Reality – 2019
ATO Records
9,7/10

Deuxième album studio pour The Claypool Lennon Delirirum qui pousse ici beaucoup plus loin la folie et l’expérimentation musicale qui avaient été engendrées sur Monoltih of Phobos en 2016. Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec ce projet, la réponse à votre question c’est oui, il s’agit bien d’un prijet avec Les Claypool de Primus et Sean Lennon, fils de vous savez qui.

Sur South of Reality, le duo se partage une fois de plus l’instrumentation, les voix et la production. Sean Lennon prenant la guitare comme instrument principal et Les Claypool la basse, les deux jouant le reste des divers et nombreux instruments au fil des pièces. J’avais déjà mentionné par le passé que ce projet était un genre de clash entre The Beatles et Primus mais c’est beaucoup plus que ça. Le duo nage en plein délire psychédélique et très progressif et bien que certains éléments sonores provenant des Sgt. Peppers ou Revolver, les deux comparses puisent à même la source Progressive pour élaborer des pi`ces complexes et riches en sonorités diverses. Les King Crimson, Pink Floyd et autres sommités des années 70 font partie intégrante du son global de The Claypool Lennon Delirium, les arrangements étant époustouflants et les ambiances complètement disjonctées! Il est intéressant d’entendre le fruit de la rencontre de deux génies musicaux semblant à l’opposé l’un de l’autre, nous connaission déjà la qualité musicale de Claypool, mais celle de Lennon n’était à peu près pas connue, le fils de l’autre a autant de talent que son paternel et a un petit quelque chose de tordu provenant de sa mère créant ainsi un mélange explosif de sonorités et d’idées riches en couleurs!

South of Reality est supérieur à son prédécesseur et c’est un album que tout amateur de musique progressive et hors normes se doit d’écouter. Le début de 2019 était un peu mou en sorties jusqu’ici mais avec ce deuxième album, The Claypool Lennon Delirium vient rectifier le tir!

Composition: 9,5
Exécution: 10
Ambiance: 9,5
Production: 9,5
Appréciation Genérale : 10

Candlemass – The Door to Doom – 2019

Candlemass – Epic Doom Metal – Suède
The Door to Doom – 2019
Napalm Records
9/10

Décidément, Candlemass est encore une fois plein de surprise et en sors une de taille de son sac! Après avoir congédié Robert Lowe tout juste avant la sortie de Psalms for the Dead, Leif Edling avait annoncé que c’était le dernier album du groupe. Puis, contre toute attente, Candlemass sort coup sur coup deux mini albums en 2016 et 2018 avec Mats Levén à la voix et en décembre 2018, annonce que le chanteur original de la formation, Johan Längquist était de retour 32 ans après la sortie de Epicus Doomicus Metallicus et qu’un nouvel album verrait le jour au début 2019.

Et bien, le voici ce nouvel album! Intitulé The Door to Doom, ce nouvel opus nous transporte près de 30 ans dans le passé comme si c’était la suite directe du premier album qui avait fait fait couler beaucoup d’encre à l’époque. On y retrouve le Doom épique granuleux et lourd qui avait pris le monde du Métal par surprise en 1986 et on y retrouve Längquist plus en forme que jamais! La production a également puisé ses sources dans les débuts du groupe avec des sonorités un peu moins léchées que sur les derniers albums, on y retrouve une chaleur et une texture sonore plus près de ce que le Doom originel sonnait et ceci apporte un certain charme au tout. Le groupe se paie même une ballade avec des guitares acoustiques qui contraste avec la puissance des pièces que le groupe nous a habitué au fil des albums. En tout huit pièces de pur Candlemass qui perpétuent la tradition Doom qui avait été implantée par le groupe en 1986 et ce nouvel album prouve une fois de plus que Leif Edling et sa bande sont les maîtres incontestés de Doom traditionnel.

The Door to Doom se hissera haut dans les tops de 2019 et est déjà un classique du genre. A écouter sans réserve avec un maximum de volume!

Composition: 9
Exécution: 9
Ambiance: 9
Production: 8,5
Appréciation Genérale : 9,5

Ewigheim – Irrlichter – 2019

Ewigheim – Gothic Metal – Allemagne
Irrlichter – 2019
Massacre Records
8,9/10

J’avais découvert Ewigheim en 2016 avec le sixième album, Schlaflieder. Étant un grand fan de The Vision Bleak, j’avais beaucoup d’attentes car justement, Ewigheim comporte dans sa formation le duo derrière The Vision Bleak. L’album m’avait beaucoup déplu, le trouvant trop mou et trop mélancolique et je dois dire que je n’étais pas certain de réitérer l’expérience avec ce nouvel album.

Et bien je dois dire que Ewigheim est revenu sur la bonne voie avec Irrlichter qui comprends dix pièces de pur Gothic Metal dans la veine de The Vision Bleak avec des relents à la Sisters of Mercy période Floodland avec des sonorités rappelant Type O Negative par moments. Donc un album un peu plus musclé que son prédécesseur avec des des riffs mordants arrosés de cette tristesse qui fait du Gothique une musique froide et mélancolique. Le piano est à l’honneur sur cet album apportant des éléments un peu plus classique aux compositions du groupe qui utilise l’allemand comme langue pour le chant. Cet aspect donne l’impression de déjà entendu, dans Rammstein ou Die Apokalyptischen Reiter pour ne nommer que ceux-là.

J’ai bien aimé cet album dans son ensemble, la production est au rendez-vous et le niveau de composition est à l’image de ce que le duo nous habitue avec The Vision Bleak, Empyrium ou Sun of the Sleepless. Une belle réussite pour les amateurs de musique Gothique de la vieille école.

Composition: 9
Exécution: 9
Ambiance: 9
Production: 9
Appréciation Genérale : 8,5

Die Klute – Planet Fear – 2019

Die Klute – EBM/Industrial Metal – International
Planet Fear – 2019
Cleopatra Records
7,3/10

Die Klute est un tout nouveau projet Industriel Métal dans lequel on retrouve Dino Cazares de Fear Factory, Jurgen Engler de Die Krupps et Claus Larsen de Leather Strip. Ce projet est totalement axé sur les claviers et le martèlement typique associé à la musique industrielle, donc une musique très mécanique et saccadée.

Dès les premières mesures de l’album, nous savons à quoi nous aurons affaire, le son de die Krupps est très présent et c’est un peu malheureux dans un sens car Die Klute est une copiè/collé de Die Krupps en moins percutant et moins original. La présence de Dino Cazares se perd complètement dans l’océan de claviers minimalistes ce qui enlève un intérêt total pour un Métalleux recherchant avant tout les sonorités à la Fear Factory. Bien que comportant de très bonnes idées, celles-ci ont été surexploitées par le passé et Planet Fear sonne le réchauffé sur la majeure partie de l’album.

Ce premier album comporte toutefois de bonnes pièces mais ce n,est pas suffisant pour crier au chef d’oeuvre. Planet Fear ne se hissera pas au sommet avec les pionniers du genre mais demeure tout de même écoutable du début à la fin.

Composition: 7,5
Exécution: 7
Ambiance: 7
Production: 8
Appréciation Genérale : 7

Legion of the Damned – Slaves of the Shadow Realm – 2019

Legion of the Damned – Death/Thrash Metal – Pays-Bas
Slaves of the Shadow Realm – 2019
Napalm Records
8,5/10

L’annonce d’un nouvel album de la part de Legion of the Damned est toujours longue dans mon cas. Ce groupe provenant des Pays-Bas entre dans ma liste de groupes favoris tous styles confondus et je ne suis jamais déçu d’album en album.

Hormis Feel the Blade qui est une ré-édition du dernier album de Occult, Legion of the Damned en est à son sixième album studio et avec Slaves of the Shadow Realm, le groupe poursuit avec puissance ce qu’il entretient depuis des lustres. Bien que le groupe n’ait pas changé d’un iota depuis ses débuts en tant que Legion of the Damned en 2005, il n’en demeure pas moins qu’il est encore en mesure de nous livrer de la musique de haut calibre sans baisser d’intensité. Les membres du groupe ont toujours misé sur la simplicité et la force brute, ici pas d’incursions dans le monde du ultra technique, d’excellents riffs simples et bien ficelés reposant sur une force de frappe explosive. Les compositions sont brillamment construites et même si le groupe œuvre dans un Death/Thrash commun, l’originalité du son et la manière de rendre les pièces est unique au quatuor. Sur ce nouvel album on garde toujours le cap avec une musique crue et franche en misant plus sur les riffs que sur les ambiances, il faut que ça cogne dur et que ce soit dans ta face.

Une autre très belle réussite pour Legion of the Damned avec un album qui frappe là où ça fait mal. Grimpez le volume et faites vous aller la touffe!

Composition: 9
Exécution: 8,5
Ambiance: 8
Production: 8,5
Appréciation Genérale : 8,5

Changements dans la liste des critères pour 2019

Bonne année 2019 à tous!

De légers changements seront apportés cette année au niveau des critères et des notes données aux albums. La partie « Originalité » sera maintenant imbriquée dans la section « Composition ». Une nouvelle section voit aussi le jour afin de permettre de répartir un peu mieux les notes pour ainsi atteindre un résultat final plus près de la vérité. Donc, la section « Appréciation personnelle » viendra égaliser de façon plus juste le total des notes qui seront toujours sur une échelle de 10. Les notes seront toujours attribuées à la musique uniquement. L’aspect paroles et graphique ne seront pas pris en compte comme par le passé. En nous souhaitant une année de grand crûs!