Honeymoon Disease – Part Human, Mostly Beast – 2017

Honeymoon Disease – Hard Rock – Suède
Part Human, Mostly Beast – 2017
Napalm Records
9/10

Après un premier album totalement explosif sorti en 2015, la formation Su`doise Honeymoon Disease nous revient cette année avec un nouvel album tout aussi décapant que le premier! Part Human, Mostly Beast reprends là où le quatuor nous avait laissés avec le premier album en y ajoutant même un peu plus de maturité et d’assurance musicale.

Le groupe offre encore une fois son Hard Rock puissant habilement mené par des guitares mélodiques et acérées avec des riffs accrocheurs, une basse agressive et une batterie bien assise et solide comme il se doit. Niveau voix, on améliore la sauce sur ce nouvel album avec des voix d’appui et des mélodies vocales hallucinantes qui se marient à la perfection avec le ton pur et dur des compositions. Les arrangements sont une fois de plus époustouflants, on a affaire à des compositeurs de très haut calibre rivalisant avec les grands de ce monde et les pionniers du Hard et Classic Rock.

Part Human, Mostly Beast est déjà un classique à en devenir, les amateurs de guitare avec un grand G seront comblés, cet album contient suffisamment de mordant pour écorcher les oreilles des voisins. Du pur Hard Rock comme à l’origine.

Honeymoon Disease – The Transcendence – 2015

honeymoon-diseaseHoneymoon Disease – Hard Rock – Suède
The Transcendence – 2015
Napalm Records
9/10

Je ne sais pas ce qui se passe en Suède présentement mais la vague des années 70 qui déferle présentement est assez incroyable. Honeymoon Disease est le petit nouveau fraichement arrivé avec un premier album, The Transcendence, totalement époustouflant! Deux gars, deux filles ( tiens donc, ça me rappelle vaguement un autre groupe Suédois des années 70… ). du bon gros Hard Rock et un album explosif.

Le quatuor ne se contente pas seulement de jouer du Hard Rock comme dans le temps, il le fait comme si le groupe était né à la mauvaise époque. Deep Purple rencontre Thin Lizzy avec des soubresauts d’UFO et de Motörhead des débuts. C’est rapide, incisif et mortellement entraînant. Honeymoon Disease y va avec le strict nécessaire sans flaflas ni de saveurs artificielles. Des guitares qui tranchent, une basse prédominante, une batterie qui percute sans ménagement et une voix chaude voilà les ingrédients requis pour faire du vrai Rock qui égratigne et qui frappe fort.

The Transcendence est un début assez fracassant pour un nouveau groupe, la barre a été hissée très haute et ce groupe a un avenir fort prometteur. Mets ça dans ta pipe Gene Simmons, le Rock est loin d’être mort et Honeymoon Disease vient de nous donner une bonne leçon de pur Rock and Roll.